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Les filles du chasseur d’ours

Les Éditions de l’Observatoire

Elles sont sept, sept sœurs aux airs de sauvageonnes : la narratrice les a repérées, à travers l’objectif de son appareil photo, ces filles qui viennent vendre leurs peaux de bêtes au marché, elle a observé leurs habitudes, leurs signes distinctifs. Leurs danses aussi, ivres et flamboyantes, au milieu des hommes qui les acclament et les sifflent. A part ça, personne au village ne sait vraiment qui elles sont. Ce sont les filles du chasseur d’ours, on raconte qu’elles passent leurs journées à braconner et à se battre, quand elles ne sont pas en train de se baigner dans une rivière au clair de lune...
Pourtant, se profile derrière ces renardes échevelées un récit tourmenté : en effet, une nuit, leur père ne revient pas de la chasse, et les sept filles se retrouvent livrées à elles-mêmes. La forêt et ses sombres dédales, lorsqu’on est une bande de gamines enragées, a de bien durs rites d’initiation. Comment survivre lorsque la faim, la solitude, la rivalité et les jeux de violence menacent à tout instant ?
Anneli Jordahl se fait la conteuse d’une Finlande contemporaine dans laquelle se déploient les racines de légendes ensorcelantes. Un conte féministe et venimeux.

Traduit du suédois par Anna Gilson


  • « Les Filles du chasseur d’ours, cinquième roman de la Suédoise Anneli Jordahl (le premier traduit en français), évoque à la lecture une bougie parfumée. Pas la bougie chauffe-plat industrielle, entendons-nous bien : la grosse bougie artisanale qui en un allumage diffuse ses arômes de mousse, d’écorce, de fougère, de racines, de cuir et de pinède. » Libération
  • « C’est un roman qui détonne, plein de bruit, d’odeurs et de fureur. Un roman drôle et foutraque, mais aussi cruel et violent, qui s’assoit sur le bon goût en faisant des pieds de nez. » Valeurs Actuelles
Les filles du chasseur d'ours

Les filles du chasseur d’ours

Les Éditions de l’Observatoire - 2024

Elles sont sept, sept sœurs aux airs de sauvageonnes : la narratrice les a repérées, à travers l’objectif de son appareil photo, ces filles qui viennent vendre leurs peaux de bêtes au marché, elle a observé leurs habitudes, leurs signes distinctifs. Leurs danses aussi, ivres et flamboyantes, au milieu des hommes qui les acclament et les sifflent. A part ça, personne au village ne sait vraiment qui elles sont. Ce sont les filles du chasseur d’ours, on raconte qu’elles passent leurs journées à braconner et à se battre, quand elles ne sont pas en train de se baigner dans une rivière au clair de lune...
Pourtant, se profile derrière ces renardes échevelées un récit tourmenté : en effet, une nuit, leur père ne revient pas de la chasse, et les sept filles se retrouvent livrées à elles-mêmes. La forêt et ses sombres dédales, lorsqu’on est une bande de gamines enragées, a de bien durs rites d’initiation. Comment survivre lorsque la faim, la solitude, la rivalité et les jeux de violence menacent à tout instant ?
Anneli Jordahl se fait la conteuse d’une Finlande contemporaine dans laquelle se déploient les racines de légendes ensorcelantes. Un conte féministe et venimeux.

Traduit du suédois par Anna Gilson


  • « Les Filles du chasseur d’ours, cinquième roman de la Suédoise Anneli Jordahl (le premier traduit en français), évoque à la lecture une bougie parfumée. Pas la bougie chauffe-plat industrielle, entendons-nous bien : la grosse bougie artisanale qui en un allumage diffuse ses arômes de mousse, d’écorce, de fougère, de racines, de cuir et de pinède. » Libération
  • « C’est un roman qui détonne, plein de bruit, d’odeurs et de fureur. Un roman drôle et foutraque, mais aussi cruel et violent, qui s’assoit sur le bon goût en faisant des pieds de nez. » Valeurs Actuelles