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L’oeil de Nica : Photographies de Pannonica de Koenigswarter

Buchet Chastel

Complément indispensable aux Musiciens de jazz et leurs trois voeux, cet album de photos prises par la grande dame du jazz restitue une époque et un univers qui ne cessent de nous fasciner. Photographies des plus grands jazzmen américains : Telonious Monk et sa famille, Bud Powell, Art Blakey, Sonny Rollins, Cannonball Adderley…

Les 150 chats que Nica recueillait dans sa maison surnommée à juste titre « Cathouse ».

Mais également des vues exceptionnelles de Manhattan, des moments saisis dans les clubs de jazz, des clichés de l’Amérique profonde…

Un témoignage visuel bouleversant sur les années 1950-1960 américaines, rehaussées par les couleurs singulières du Polaroïd.


  • « Le Polaroid venait d’être lancé. « Nica » s’en empara pour fixer sur papier toute la faune de Cathouse. A ses amis noirs, la baronne blanche demandait quels seraient leurs trois vœux si elle-même était une fée. Au même moment, elle les photographiait. Leurs réponses, accompagnées des portraits, ont fait l’objet d’un premier livre, Les Musiciens de jazz et leurs trois vœux (Buchet-Chastel, 2006). Mais de nombreux Polaroid demeuraient au fond des boîtes d’archives. Laurent de Wilde et les enfants de la « baronne du jazz » y ont pioché la matière de ce nouveau volume. » Le Monde
L'oeil de Nica : Photographies de Pannonica de Koenigswarter

L’oeil de Nica : Photographies de Pannonica de Koenigswarter

Buchet Chastel -

Complément indispensable aux Musiciens de jazz et leurs trois voeux, cet album de photos prises par la grande dame du jazz restitue une époque et un univers qui ne cessent de nous fasciner. Photographies des plus grands jazzmen américains : Telonious Monk et sa famille, Bud Powell, Art Blakey, Sonny Rollins, Cannonball Adderley…

Les 150 chats que Nica recueillait dans sa maison surnommée à juste titre « Cathouse ».

Mais également des vues exceptionnelles de Manhattan, des moments saisis dans les clubs de jazz, des clichés de l’Amérique profonde…

Un témoignage visuel bouleversant sur les années 1950-1960 américaines, rehaussées par les couleurs singulières du Polaroïd.


  • « Le Polaroid venait d’être lancé. « Nica » s’en empara pour fixer sur papier toute la faune de Cathouse. A ses amis noirs, la baronne blanche demandait quels seraient leurs trois vœux si elle-même était une fée. Au même moment, elle les photographiait. Leurs réponses, accompagnées des portraits, ont fait l’objet d’un premier livre, Les Musiciens de jazz et leurs trois vœux (Buchet-Chastel, 2006). Mais de nombreux Polaroid demeuraient au fond des boîtes d’archives. Laurent de Wilde et les enfants de la « baronne du jazz » y ont pioché la matière de ce nouveau volume. » Le Monde