Le temps des cerises
Avec François BOURGEON, Hervé LE CORRE
10 septembre 2019.
Avec François BOURGEON, Hervé LE CORRE
Animé par Maëtte CHANTREL et Pascal JOURDANA
DERNIER OUVRAGE
Romans
Dans l’ombre du brasier
Rivages - 2019
La "semaine sanglante" de la Commune de Paris voit culminer la sauvagerie des affrontements entre Communards et Versaillais. Au millieu des obus et du chaos, alors que tout l’Ouest parisien est un champ de ruines, un photographe fasciné par la souffrance des jeunes femmes prend des photos "suggestives" afin de les vendre à une clientèle particulière. La fille d"un couple disparait un jour de marché. Une course contre la montre s’engage pour la retrouver.
Dans l’esprit de L’Homme aux lèvres de saphir (dont on retrouve l’un des personnages), Hervé Le Corre narre l’odyssée tragique des Communards en y mêlant une enquête criminelle haletante.
- « Roman noir et rouge, Dans l’ombre du brasier dit avec une singulière puissance les espoirs révolutionnaires des communards, l’idéal joyeux d’une société plus démocratique, plus égalitaire, tout autant que la conscience aigüe de la défaite inéluctable(…) Éminemment politique, profondément mélancolique » Télérama
- « La peinture que Le Corre fait de ces combats de la dernière chance, des immeubles en feu, éventrés, décapités, de l’inégalité entre les armes des uns et des autres est hallucinante (...)De la littérature, oui, de la belle littérature. De celle qui donne à voir et à penser. » Rue89 Bordeaux
- « Hervé Le Corre est en train de s’imposer comme un des plus grands auteurs de romans noirs français. » Libération
DERNIER OUVRAGE
Bande Dessinée
Les Passagers du vent, Tome 8. Le sang des cerises, Livre 1 : Rue de l’abreuvoir
Paris, 16 février 1885. On enterre Jules Vallès, tout juste cinq ans après l’amnistie des communards et le retour des exilés. Zabo est là, au milieu de la foule immense. Alors que nous l’avions quittée vingt ans plus tôt, en Louisiane, elle répond aujourd’hui au prénom de Clara. Quand elle voit une jeune fille, fraîchement débarquée de sa Bretagne natale, se faire maltraiter, Zabo réagit.
Revue de presse
- « “Chaque album, chaque planche, est un pur délice. Le travail sur le dessin, la couleur, les dialogues par le même auteur permet de faire passer des émotions qui embarquent le lecteur jusqu’au mot fin.Una lbumà croquer comme une poignée de cerises. » Daupiné
- « La vie de Paris au XIXe siècle est magnifiquement dépeinte, la langue bretonne et l’argot utilisés par les protagonistes donnent un ton vrai, les personnages possèdent une profondeur et une personnalité incomparables (...)Un monument de la BD signé Bourgeon. » L’Enseignant
- « Une recherche documentaire imposante, une précision du trait (...) et des héroïnes au caractère bien trempé, l’auteur rend hommage à La Commune et à ses participants, regrettant que l’on n’enseigne plus à nos élèves cette partie de notre histoire. Ce huitième tome des Passagers du vent fait déjà figure de classique. Indispensable. » InterCDI