GODDYN Régis

France

29 avril 2014.
 
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C’est lors de ses longs trajets quotidiens en train que ce passionné du Seigneur des Anneaux a troqué la lecture pour l’écriture. Sa formation en arts plastiques qu’il enseigne aujourd’hui à Amiens l’orientait plutôt vers les métiers de l’image, mais c’est néanmoins la littérature qu’il choisit comme mode d’expression.
En 2013, il entame alors une heptalogie épique remarquable. Régis Goddyn clôt cette année le cycle du Sang des 7 rois, ce majestueux roman de fantasy sans elfes, sans orques ni grimoires. Dans un monde médiéval imaginaire où la magie et l’hérédité sont les clés, un personnage, Orville, simple sergent se découvre à mesure que la société qui l’a engendré s’effrite. Un authentique roman d’aventures, de rencontres, de combats et de haine.

« C’est dans le train qui m’emmenait au boulot à Villetaneuse que j’ai commencé à lire de la fantasy, entre rail et travail, cinq heures par jour à avaler les kilomètres et les pages, un livre à la main et mon thermos de café dans un sac. Je rencontre alors George R.R. Martin, Robin Hobb, Orson Scott Card, Wolfgang Hohlbein..., tout ce que la littérature de l’imaginaire propose et qui console de n’être qu’un homme assis dans un train dans le petit matin glacial. Puis, imperceptiblement, alors que le thermos restait le fidèle ami du voyageur, le livre a glissé de la main pour céder la place à un simple stylo. »


Bibliographie

 

DERNIER OUVRAGE

 
Romans

Le sang des 7 rois - Livre VII

L’Atalante - 2016

Le Sang des 7 rois est un roman de fantasy sans elfes, sans orques ni grimoiresn où le lectuer évolue dans un monde médiéval imaginaire : un univers simple et austère dans lequel un personnage, Orville, simple sergent, va se découvrir à mesure que la société qui l’a engendré s’effrite.
L’étau se referme… Dans ce septième et dernier tome du Sang des 7 rois, la menace qui plane au-dessus des sept royaumes se concrétise. Maddox dispose désormais des informations nécessaires à l’envahissement de la planète et des ressources qui lui faisaient défaut. L’avance technologique dont il dispose et la division de ses ennemis posent les bases d’une chasse à l’homme dont Jahrod est le gibier. Mais rien ne presse…