DE CORNIÈRE François

France

Les façons d’être (Le Castor Astral, 2022)

© Studio Phoenix

Né en 1950 à Caen, François de Cornière a fondé et animé pendant plus de 30 ans les fameuses “Rencontres pour lire” et fait découvrir de nombreux auteurs dans sa Normandie natale. Il est lui-même poète et auteur d’une vingtaine d’ouvrages, pour lesquels il a reçu, entre autres, les prix RTL-Poésie 1, Georges Limbour et Guillaume Apollinaire. Pratiquant toujours l’arrêt sur image à partir d’infimes détails du quotidien, de quelques mots dans un carnet, il restitue avec une désarmante simplicité des instants de vie qui prennent soudain force ; en témoigne sa première anthologie, Les Façons d’être, parue cette année aux éditions du Castor Astral, un fascinant condensé de ses poèmes les plus marquants, accompagnés de nombreux inédits.


Bibliographie non-exhaustive

  • Les façons d’être (Le Castor Astral, 2022)
  • Quelque chose de ce qui se passe (Le Castor Astral, 2021)
  • Ça tient à quoi ? (Le Castor Astral, 2019)
  • Nageur du petit matin (Le Castor Astral, 2015)
  • Ces moments-là : poèmes, 1980-2010 (Le Castor Astral, 2010)
  • Boulevard de l’océan (Le Castor Astral, 2007)
Les façons d'être

Les façons d’être

Le Castor Astral - 2022

Les Façons d’être est la première anthologie personnelle de François de Cornière. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits.

Pratiquant toujours l’arrêt sur image à partir d’infimes détails du quotidien, de quelques mots dans un carnet, François de Cornière restitue avec une désarmante simplicité des instants de vie qui prennent soudain force.

Avec Les Façons d’être, François de Cornière entrouvre les portes de son univers ! Il décrit avec justesse et délicatesse la complexité de l’existence.

Quelque chose de ce qui se passe

Quelque chose de ce qui se passe

Le Castor Astral - 2021

Quelque chose de ce qui se passe est une succession d’instantanés et de joies dérobées à l’absurde. François de Cornière collectionne les petits riens du quotidien qui lui procurent une émotion particulière, même anodine.

Derrière la narration, des questions presque figuratives mais pas seulement se faufilent au détour de choses vues ou entendues, et souvent partagées. De légers décalages s’opèrent alors dans la langue et son rythme. Avec l’espoir d’entrebâiller, l’air de rien, la porte invisible de la poésie.