BOURDEAUT Olivier

En attendant Bojangles (Finitudes)

Olivier Bourdeaut est né au bord de l’Océan Atlantique en 1980. L’Education Nationale, refusant de comprendre ce qu’il voulait apprendre, lui rendit très vite sa liberté. Dès lors, grâce à l’absence lumineuse de télévision chez lui, il put lire beaucoup et rêvasser énormément.
Durant dix ans il travailla dans l’immobilier allant de fiascos en échecs avec un enthousiasme constant. Puis, pendant deux ans, il devint responsable d’une agence d’experts en plomb, responsable d’une assistante plus diplômée que lui et responsable de chasseurs de termites, mais les insectes achevèrent de ronger sa responsabilité. Il fut aussi ouvreur de robinets dans un hôpital, factotum dans une maison d’édition de livres scolaires – un comble – et cueilleur de fleur de sel de Guérande au Croisic, entre autres.
Il a toujours voulu écrire, En attendant Bojangles en est la première preuve disponible.


  • En attendant Bojangles (Finitudes)
En attendant Bojangles

En attendant Bojangles

Finitude - 2016

Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur « Mr. Bojangles » de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.
L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours.


  • Grand Prix RTL / Lire
  • Le Roman des étudiants France Culture / Télérama
  • Prix roman France Télévisions

Revue de presse

  • Retenez bien le nom de cet inconnu : Olivier Bourdeaut. A 35 ans, il sera bientôt fameux et son premier roman va faire un tabac. […] Dans une prose chantante, il fait sourire les larmes et pleurer l’allégresse. Il mérite le succès qui va fondre sur cette fable extravagante et bouleversante.
    Jérôme Garcin, L’Obs.
  • C’est le pari de LIRE en cette rentrée : un premier roman friandise, gai comme un jour de fête, doux comme un bon bain chaud. Pour l’ambiance littéraire, imaginez Jacques Prévert, Raymond Queneau et Roald Dahl se dandinant autour du pianocktail de Boris Vian.
    Estelle Lenartowicz, LIRE.
  • Voici un premier roman qui m’a emballé : c’est extravagant, c’est léger, c’est pétillant. Un coup de maître.
    François Busnel, La Grande Librairie (France 5).
  • Les bons sentiments font parfois les bons livres, et c’est le cas de cette histoire drôle, inventive et touchante, dont le ton malin et personnel séduit à chaque page.
    Baptiste Liger, Technikart.
  • Ce roman se lit comme un cocktail de folie, de mélancolie, de poésie ; il vous fera passer par les stades les plus délicieux de l’ivresse.
    Augustin Trapenard, Boomerang (France Inter).