BELLOCQ-POULONIS Sophie

La malédiction de Nephrem-Kâ (L’Oeil du Sphinx, 2012)

Biographie

Grande spécialiste de Sherlock Holmes, elle a publié en 2004 un essai sur la genèse du mythe holmesien. Passionnée, elle a depuis fait paraître plusieurs pastiches aux édition L’Oeil du Sphynx, dont le dernier explore les 3 dernières années troubles de la vie du célèbre détective.


Présentation de La malédiction de Nephrem-Kâ :
Bien que la mort de Lord Thorndyke, le linguiste émérite, semble des plus naturelles, elle n’est pourtant pas sans rappeler celle du richissime négociant en tabac, Jack Finley, survenue quelques semaines auparavant dans des circonstances similaires.
Cela n’a pas échappé à l’esprit aiguisé de Sherlock Holmes pour qui ces décès sont à rapprocher de celui de Philip Lovecraft, repêché au pied d’une falaise du Sussex,et à relier au passé commun des trois hommes lesquels ont participé à la mise au jour de la nécropole de Nephrem-Kâ, le pharaon maudit que l’Egypte ancienne s’est empressée d’effacer de son histoire.
Ces disparitions successives raniment le spectre de la malédiction dont on avait dit qu’elle frapperait tous ceux de l’expédition Finley.
D’aucuns évoquent à mots couverts la colère du dieu Cthulhu dont la violation du tombeau de Nephrem-Kâ aurait déchaîné la colère.

Présentation de Mycroft’s Testimony :

Sherlock Holmes ne serait pas tout à fait l’homme décrit par son biographe et ami le Dr Watson. Il serait de ceux qui cachent ses déviances sous le masque du génie excentrique. C’est du moins ce que confesse son frère Mycroft dans son récit-testament, en révélant l’ampleur de la crise identitaire dont souffrit le détective durant les trois années où Watson déserta Baker Street pour épouser Mary Morstan. C’est aussi ce que subodore le Dr Aaron Kosminsky, psychiatre et criminologue, dans l’étude psychopathologique qu’il fait du personnage et publie en 2004. Ces trois ans, compris entre décembre 1887 et mai 1891, furent d’insoupçonnables années d’errance et d’égarement psychiques qui conduisirent Sherlock Holmes à travers les affres de la désespérance, avant que ne le délivre sa disparition dans les chutes de Reichenbach. De cette période troublée, personne n’en a rien su. Pas même Watson. Comment aurait-il pu ?

La malédiction de Nephrem-Kâ

L’Oeil du Sphinx - 2012

Bien que la mort de Lord Thorndyke, le linguiste émérite, semble des plus naturelles, elle n’est pourtant pas sans rappeler celle du richissime négociant en tabac, Jack Finley, survenue quelques semaines auparavant dans des circonstances similaires. Cela n’a pas échappé à l’esprit aiguisé de Sherlock Holmes pour qui ces décès sont à rapprocher de celui de Philip Lovecraft, repêché au pied d’une falaise du Sussex,et à relier au passé commun des trois hommes lesquels ont participé à la mise au jour de la nécropole de Nephrem-Kâ, le pharaon maudit que l’Egypte ancienne s’est empressée d’effacer de son histoire. Ces disparitions successives raniment le spectre de la malédiction dont on avait dit qu’elle frapperait tous ceux de l’expédition Finley. D’aucuns évoquent à mots couverts la colère du dieu Cthulhu dont la violation du tombeau de Nephrem-Kâ aurait déchaîné la colère.


Mycroft’s Testimony

L’Oeil du Sphinx - 2009

Sherlock Holmes ne serait pas tout à fait l’homme décrit par son biographe et ami le Dr Watson. Il serait de ceux qui cachent ses déviances sous le masque du génie excentrique. C’est du moins ce que confesse son frère Mycroft dans son récit-testament, en révélant l’ampleur de la crise identitaire dont souffrit le détective durant les trois années où Watson déserta Baker Street pour épouser Mary Morstan. C’est aussi ce que subodore le Dr Aaron Kosminsky, psychiatre et criminologue, dans l’étude psychopathologique qu’il fait du personnage et publie en 2004. Ces trois ans, compris entre décembre 1887 et mai 1891, furent d’insoupçonnables années d’errance et d’égarement psychiques qui conduisirent Sherlock Holmes à travers les affres de la désespérance, avant que ne le délivre sa disparition dans les chutes de Reichenbach. De cette période troublée, personne n’en a rien su. Pas même Watson. Comment aurait-il pu ?


L’affaire des vierges de glaces

L’Oeil du Sphinx - 2007

Alors que l’ombre de Jack l’Eventreur s’estompe des mémoires et que tous se persuadent de sa disparition, de nouveaux cadavres de femmes apparaissent dans le quartier de Whitechapel. Contrairement aux cinq victimes connues de l’Eventreur, elles semblent ne pas appartenir à l’engeance des prostituées. Pourtant, les blessures observées sur leur corps semblent identiques à celles infligées par Jack. Serait-il de retour ? L’inspecteur Lestrade, en charge de l’enquête, ne sait que penser… Ses supérieurs ont imposé à l’opinion publique une vérité concernant l’Eventreur loin d’être acceptable. Seul, Sherlock Holmes - que les autorités avaient sciemment écarté de cette grande affaire victorienne - pourrait l’aider à éclaircir l’affaire en lui évitant de saborder sa carrière.


Les Cahiers de l’Escarboucle Bleue - Numéro 2

L’Oeil du Sphinx - 2006

Saison tardive... ..Au fond, il peut être parfois plaisant de se faire rappeler à l’ordre cela prouve au moins que l’on ne vous oublie pas, sinon que l’on vous attend !!!! Ce second numéro des « Cahiers » aura connu quelques tribulations, essentiellement techniques, qui l’auront fait désirer, plus encore peutêtre par ses initiateurs que par les lecteurs qui auront bien voulu nous manifester leurs inquiétude ! Que ceux-ci trouvent ici à la fois nos remerciements et toutes nos excuses à l’instar du coeur, la publication « a ses raisons que la raison ne connaît pas ... ». Pour ne rien dire de l’informatique... Qu’à cela ne tienne Ce ne sont ni la bonne volonté ni la matière qui manquent, et ce numéro, par la qualité des textes qu’il présente, en est l’illustration sinon parfaite, du moins en voie de le devenir... Il n’existe, à ma connaissance du moins, aucune oeuvre littéraire qui aitjamais suscité une telle descendance que celle de Conan-Doyle ! Dans une époque qui avait sans doute beaucoup trop vite enterré Gutenberg au profit de Mac Luhan, et bien que le Virtuels y dévore tous les jours un peu plus, de sa trop parfaite dentition, ce qu’il nous reste de jardin secret, les innombrables holmesolâtres du monde entier peuvent se réjouir : Holmes et Watson sont toujours bien vivants ; l’on ne fait sans doute que commencer de découvrir l’inestimable héritage que nous a affectueusement légué Sir Arthur... Mais vite : le crachin automnal venu de la Tamise fouette les vitres dans Baker-Street déserte, un feu joyeux pétille dans la petite cheminée du salon et Mrs Hudson vient tout juste de monter du thé bouillant et des muffins...


L’aventure du détective triomphant, une étude du mythe holmesien

L’Oeil du Sphinx - 2004

D’aucuns disent que sa silhouette hante encore certains quartiers de Londres, lorsque le brouillard enveloppe la ville... Si cette affirmation relève de l’affabulation, l’ombre du plus célèbre détective du monde demeure bel et bien enracinée dans l’imaginaire collectif, au point d’en constituer la référence où puisent leurs origines - inconsciemment, parfois - tous les personnages que la foisonnante littérature policière a engendrés depuis qu’Arthur Conan Doyle le façonna. SHERLOCK HOLMES... son nom résonne comme une panacée au crime, quand bien même ses attributs - la loupe, la pipe et l’incomparable deerstalker - suffisent à le désigner. Souvent pastiché, jamais égalé, il est l’archétype de l’investigateur dont les méthodes, révolutionnaires pour l’époque, font aujourd’hui le quotidien des départements de police scientifique. Pourquoi un tel personnage, né de l’imagination d’un médecin en mal de clients, a-t-il eu un impact aussi retentissant, jusqu’à créer l’illusion d’une existence réelle ? Pourquoi, alors qu’il était initialement destiné à une existence éphémère, comme beaucoup de ses pairs, s’est-il drapé de cette aura mythique ? L’étude de l’oeuvre de Conan Doyle - que les admirateurs du détective appellent le Canon - et celle des circonstances tant historiques que socioéconomiques qui ont accompagné la publication de ses aventures nous donneront peut-être la clé de cette énigme littéraire... Cette étude est préfacée par J.F. Merle, romancier, traducteur, actuellement éditeur chez Omnibus..

Le retour de Sherlock Holmes

Avec Sophie Bellocq-Poulonis et Fabrice Bourland - Saint-Malo 2012

Avec Sophie Bellocq-Poulonis et Fabrice Bourland, animé par Jean-Luc Rivera