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LALLEMAND Alain

Belgique

L’Homme qui dépeuplait les collines (JC Lattès, 2020)

Journaliste belge, il est membre de la rédaction du journal belge francophone Le Soir pour lequel il a été journaliste judiciaire, grand reporter, correspondant de guerre et journaliste d’investigation. Inspirés de ses trente années de grands reportages et correspondances de guerre, ses romans sont autant de portes ouvertes sur l’humanité. Son cinquième roman, L’Homme qui dépeuplait les collines immerge son lecteur dans l’Afrique des Grands Lacs, entre corruption, trafic d’adoption et secrets d’états. Louvoyant entre enfants soldats et conquête de l’or africain, amour et désillusions, l’auteur propose une enquête journalistique dense et éclatante.

Bibliographie

  • L’homme qui dépeuplait les collines (JC Lattès, 2020)
  • Et dans la jungle, Dieu dansait (Luce Wilquin, 2016)
  • Ma plus belle déclaration de guerre (Luce Wilquin, 2014)
  • La femme héroïne (Luce Wilquin, 2007)
  • N’oubliez pas le guide (Luce Wilquin, 2006) récit
L'Homme qui dépeuplait les collines

L’Homme qui dépeuplait les collines

JC Lattès - 2020

Immersion dans l’Afrique des Grands Lacs entre secrets d’État et trafic d’adoption.

Ce jour-là, au siège de Mediapart, dans une impasse du XIIe arrondissement de Paris, c’est l’effervescence : soixante millions de documents confidentiels viennent de fuiter. Un leak à l’échelle mondiale. Pour l’essentiel, des données bancaires, dans toutes les langues, mettent au jour la corruption de l’Afrique. Anciennes nations coloniales, la Belgique et la France sont directement concernées. Une seule obsession pour l’équipe : vérifier les infos, puis publier.
Au même moment, dans le maquis de Kipupu, à l’est de la République démocratique du Congo, un gamin laisse derrière lui la mine de Kadumwa et court, le cœur battant, vers un camp de combattants rebelles. Dans sa poche, un diamant. Une autre bombe à retardement.


Revue de presse

  • « Ce roman est un bel hommage au journalisme d’investigation. Et aux possibilités d’amour et de révolte des êtres humains. » Le Soir
  • « Un roman noir qui se double d’une réflexion sur le journalisme à l’ère des réseaux sociaux et des fake news. Une réflexion puisée aux meilleures sources. » (Libération)
  • « Avec ce cinquième roman, Alain Lallemand nous fait vivre l’Afrique. Celle des mines et du travail des enfants, celle des combines. Cela aurait pu être une enquête comme il en a mené durant ses 18 années dans le journalisme d’investigation. Mais c’est un roman. Captivant. » La Meuse
  • « Une ode aux journalistes d’investigation à travers une enquête menée par des personnages de romans. Dense et brillant. » RTBF