- D.R.
C’est la plus solitaire des courses au large. La plus inconfortable aussi. L’Atlantique sur un voilier de 6,5 mètres. Sans communication satellite. Sans assistance technique ou médicale. Sans informatique embarquée. Une course sur cartes papiers où toutes les gloires de la voile ont usé un jour ou l’autre leurs fonds de cirés.
En septembre 2007, après plus de 6000 milles de qualifications, le réalisateur Grégory Magne est au départ de la Transat 6,50. Il consigne chaque humeur, chaque événement de sa course, tandis qu’à terre, la caméra de Stéphane Viard prend le relais. Plongée dans la tête du navigateur solitaire.
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