MARTY Jean-Luc

France

21 février 2018.

Partageant depuis toujours sa vie entre voyages et écriture, il a d’abord été journaliste free-lance puis rédacteur en chef du magazine Géo de 1993 à 2010. Grand voyageur, amateur de mer et de musique, c’est un passionné de “l’Ailleurs”. Après Rumba (2008), Un coeur portuaire (2012) et La Mer à courir (2014), son dernier roman Être, tellement nous entraîne dans un road-trip au cœur du Nordeste brésilien. Trois personnages en quête d’eux-même, que rien ne relie a priori, réunis dans un pick up à travers la sécheresse… Jean Luc Marty mêle une nouvelle fois habilement l’exploration de l’intime et des grands espaces. De la géographie brésilienne à la géographie intérieure, il n’y a pour lui qu’un pas.

 

Jean-Luc Marty partage depuis toujours sa vie entre voyages et écriture. D’abord journaliste free lance, il a collaboré à Libération (cinéma, musique, sport…) l’Hebdo des Savanes ou encore Vogue. En 1987, il consacre son premier ouvrage au comédien Philippe Léotard (Haute Lune) après en avoir fait le portrait dans Libération. Au total, c’est près d’une quarantaine de portraits d’acteurs qu’il livrera au quotidien sous la direction de Serge Daney, sur le principe d’entretiens sans question. Jean luc Marty devient ensuite rédacteur en chef du magazine GEO, qu’il dirige de 1993 à 2010.

C’est en 2001 qu’il publie son premier roman La Dépression des Açores, où des personnages en errance se croisent dans un port en pleine tempête. On y retrouve déjà tous les thèmes de son œuvre : le mouvement des hommes d’un monde à l’autre, l’inquiétude de ce début de siècle, la difficile rencontre entre l’histoire et la géographie. Jean Luc Marty aime les lieux de passage, entre deux mers, entre deux mondes, à l’image du port de La Dépression des Açores.
Après Rumba (2008), Un coeur portuaire (2012) et La Mer à courir (2014), ce grand voyageur nous entraîne dans un road-trip au coeur du Nordeste brésilien dans son nouveau roman Être, tellement. Trois personnages en quête d’eux-même que rien ne relie apparemment, réunis dans un pick up à travers la sécheresse…Un livre d’atmosphère, dans lequel Jean Luc Marty mêle une nouvelle fois habilement l’exploration de l’intime et des grands espaces, le voyage vers l’Autre, vers soi : de la géographie brésilienne à la géographie intérieure, il n’y a qu’un pas.


Bibliographie :