SAMEDI 26 MAI

Black Bazar

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Grande soirée africaine autour d’Alain Mabanckou, qui a revêtu le costume de producteur ! Samedi 26 mai, L’Escale, 21h30, 13 euros

Achetez vos billets sur place : jeudi 24 mai et vendredi 25 mail, une billetterie ouvrira sur le Salon du Livre, et aux points de vente habituels durant le festival.

Produit par l’écrivain Alain Mabanckou et inspiré du roman à succès du même nom, un retour aux sources de la rumba congolaise, sous la houlette de Modogo Abarambwa et de Sam Tshintu, issus du groupe mythique "Quartier Latin". Avec le slameur franco-sénégalais Souleymane Diamanka. Une "histoire d’amitié, de passion et de famille", mêlant les langues (français, lingala, wolof, peul, espagnol) et les traditions musicales, et un hymne festif à la fraternité. Ça va danser !


Découvrir :


Black Bazar : le disque !

« Le disque Black Bazar, c’est pour moi comme un rêve d’enfant sans doute. Je voulais être musicien. Je joue un tout petit peu de la guitare et de temps en temps je compose des chansons. Je me suis dit que la meilleure façon de me satisfaire de mon goût musical, c’est de produire des gens que j’apprécie. » Alain Mabanckou

Après le Sanglot de l’homme noir, essai polémique sorti en janvier dernier dénonçant le discours victimaire de certains Noirs de France , Alain Mabanckou fait à nouveau parler de lui : le 5 mars est arrivé dans les bacs l’album "Black bazar" produit par l’auteur et inspiré du roman à succès du même nom.
Sous une élégante pochette représentant un "sapeur" sur son trente-et-un, l’album, enregistré dans des conditions de « semi-live », réunit autour de Modogo et Sam d’autres artistes africains mais aussi la cubaine Niuver et le slameur franco-sénégalais Souleymane Diamanka. Mabanckou signe deux titres intitulés
"Black Bazar Face A" et "Black Bazar Face B". tandis que le "Fessologue", chanson hommage au personnage central de son roman signée Sam Tshintu, clôt le disque.

"Black Bazar, version disque, est un réjouissant album de musique congolaise, axé essentiellement sur la rumba." Patrick Labesse, LeMonde.fr (Lire "La double face d’un roi de la "Sape"")