Remarqué l’an dernier pour La dernière frontière (Liana Lévi), Bruno Arpaia revient avec un nouveau roman mettant en scène la révolte des Asturies (1933), sanglant préambule à la Guerre d’Espagne, qui oppose les coalitions de droite aux socialistes et aux anarchistes de la C.N.T. Originaire de la province de Naples, il est traducteur d’espagnol, conseiller éditorial et journaliste.
- Du temps perdu (Liana Levi, 2003)
- La dernière frontière (Liana Lévi, 2002)