- Michel Boizot
- D.R.
« On en reste bouche bée, à la fois fasciné et intrigué ; on entend et on voit se dérouler, en voix, en trilles et longues plaintes, ces prodiges de parole et ces gestes de karageuz, qui, non content de nous dépayser, nous ré-empaysent, nous précipitent, tel Merlin propulsé dans les airs par la fée, dans un espace d’avant la grande scission des espèces, quand tout parlait mezza voce et in petto, au rythme de l’Harmonia Mundi » (Gil Jouanard).