Grand voyageur, Caryl Férey n’avait pourtant jamais été en Russie.
Encore moins en Sibérie. Il n’aime pas le froid et avait beaucoup d’a priori sur les Russes. Mais il a dit oui.
À une seule condition : embarquer « La Bête » avec lui. Ensemble, ils ont vécu une expérience inouïe : découvrir Norilsk, cité minière à trois cents kilo- mètres au-dessus du cercle polaire, sacrément polluée et froide.
Un ancien goulag, fermé aux touristes et aux Russes, accessible uniquement sur autorisation du FSB.
Revenu de ce voyage pas comme les autres, il en tire un récit d’une grande sensibilité, une enquête gonzo à la rencontre des mineurs sibériens.
- Un décor à la Blade Runner version sibérienne (Les Echos)
- (un) récit enlevé, drôle, décale et sensible. (Sciences et Avenir)
- Un style rock’n’roll qui fait mouche. Comme une claque en pleine figure. Et parce qu’on a sans doute un côté maso, on tend l’autre joue en attendant la parution du prochain roman. (Pascale Le Guillou, Ouest France)
- Une visite incarnée (France Bleu)
- À lire le sourire aux lèvres (L’Express)