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La chambre à récits : la passion, la vengeance et la vie dans un village

Noir sur Blanc

Dans le hameau médiéval de Guzmán (en Castille, 80 habitants), l’on se réunit depuis des siècles dans la « Chambre à récits », une pièce étroite, creusée dans le calcaire, où se partagent les histoires et le vin du pays. Si Michael Paterniti débarque un jour dans ce village, avec sa petite famille, c’est parce qu’on y produit un fromage de légende : le Páramo de Guzmán, qui est paraît-il le meilleur et le plus cher au monde. Il va y rencontrer le maître-artisan en personne, un génie volubile et magnétique, un homme au cœur brisé qui se nomme Ambrosio. Ce que Paterniti découvre à Guzmán ne ressemble en rien à la fable idyllique, au petit conte pour amateurs de slow food qu’il s’était imaginé.

Ragots, jalousies, passions terrifiantes, le village révèle peu à peu tous ses secrets (hormis celui de son fromage) et l’auteur se retrouve embarqué dans les intrigues, impliqué même. Et puisqu’il est bientôt question de préparatifs d’un assassinat…

Le journalisme narratif à son meilleur : mille digressions, des récits gigognes et une implication de l’auteur irrépressible (voire périlleuse).

Traduit de l’anglais (États Unis) par Vincent Raynaud


Revue de presse :

  • « L’auteur mise sur le journalisme narratif et des descriptions détaillées et efficaces pour entremêler différentes histoires et ainsi faire de La Chambre à récits un récit à forte dimension humaine sur la vie, la perte, et le storytelling en lui-même. »
    Léa Sanchez, Toutelaculture.com
  • « Inoubliable… »
    The Wall Street Journal
La chambre à récits : la passion, la vengeance et la vie dans un village

La chambre à récits : la passion, la vengeance et la vie dans un village

Noir sur Blanc - 2017

Dans le hameau médiéval de Guzmán (en Castille, 80 habitants), l’on se réunit depuis des siècles dans la « Chambre à récits », une pièce étroite, creusée dans le calcaire, où se partagent les histoires et le vin du pays. Si Michael Paterniti débarque un jour dans ce village, avec sa petite famille, c’est parce qu’on y produit un fromage de légende : le Páramo de Guzmán, qui est paraît-il le meilleur et le plus cher au monde. Il va y rencontrer le maître-artisan en personne, un génie volubile et magnétique, un homme au cœur brisé qui se nomme Ambrosio. Ce que Paterniti découvre à Guzmán ne ressemble en rien à la fable idyllique, au petit conte pour amateurs de slow food qu’il s’était imaginé.

Ragots, jalousies, passions terrifiantes, le village révèle peu à peu tous ses secrets (hormis celui de son fromage) et l’auteur se retrouve embarqué dans les intrigues, impliqué même. Et puisqu’il est bientôt question de préparatifs d’un assassinat…

Le journalisme narratif à son meilleur : mille digressions, des récits gigognes et une implication de l’auteur irrépressible (voire périlleuse).

Traduit de l’anglais (États Unis) par Vincent Raynaud


Revue de presse :

  • « L’auteur mise sur le journalisme narratif et des descriptions détaillées et efficaces pour entremêler différentes histoires et ainsi faire de La Chambre à récits un récit à forte dimension humaine sur la vie, la perte, et le storytelling en lui-même. »
    Léa Sanchez, Toutelaculture.com
  • « Inoubliable… »
    The Wall Street Journal

Le genre humain

Avec Michael Paterniti, Tanguy Viel, Gérard Lefort - Saint-Malo 2017

Avec Michael Paterniti, Tanguy Viel, Gérard Lefort
Animé par Eduardo Castillo


On l’appelle "creative non fiction"

Avec Michael Paterniti, Stéphane Breton, William Finnegan, Hubert Delahaye - Saint-Malo 2017

« J’applique au réel les techniques de narration du roman pour révéler la dimension romanesque du réel » disait l’écrivain-voyageur Bruce Chatwin. Un courant déjà ancien aux États-Unis, qui a irrigué la réflexion sur le « nouveau journalisme » et inspiré le New Yorker – à partir de cette question qu’est-ce qui distingue un récit de voyage, par exemple, d’un reportage, fait de l’un une œuvre littéraire, de l’autre pas ? « Creative non-fiction » : une école du regard, un courant que veut promouvoir la revue « Feuilleton » d’Adrien Bosc.

Avec Michael Paterniti, Stéphane Breton, William Finnegan, Hubert Delahaye

Animé par Marie-Madeleine Rigopoulos