Bibliothèque

Tous nos noms

Albin Michel

Événement littéraire aux États-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l’auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l’évocation d’une amitié mise à mal par l’Histoire se confond avec le portrait d’un continent déchiré, il pousse plus loin encore l’exploration de l’exil et du déracinement.
Isaac, un jeune Africain, est venu aux États-Unis dans le cadre d’un programme d’échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l’a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d’une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher.
Du chaos de l’Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l’écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d’Helen et d’Isaac, saisit les paradoxes de l’Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes.

« Un roman étincelant, profondément émouvant. » The New York Times


Revue de presse :

  • « C’est un livre de maturité de ce romancier majeur de la diaspora africaine, qui sait si bien mêler ici et ailleurs, optimisme et gravité, guerre et paix. Il y a du Tolstoï et du Walt Whitman dans cette voix élégiaque et solitaire, qui « contient des multitudes. »
    RFI
  • « Réfugiés ? On en arrive à ce nouvel opus, le troisième, dans le déploiement de ce qui s’appelle une œuvre. Dans Tous nos noms, Mengestu passe un nouveau cap et gagne encore en profondeur. »
    Le Point
Tous nos noms

Tous nos noms

Albin Michel - 2015

Événement littéraire aux États-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l’auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l’évocation d’une amitié mise à mal par l’Histoire se confond avec le portrait d’un continent déchiré, il pousse plus loin encore l’exploration de l’exil et du déracinement.
Isaac, un jeune Africain, est venu aux États-Unis dans le cadre d’un programme d’échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l’a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d’une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher.
Du chaos de l’Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l’écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d’Helen et d’Isaac, saisit les paradoxes de l’Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes.

« Un roman étincelant, profondément émouvant. » The New York Times


Revue de presse :

  • « C’est un livre de maturité de ce romancier majeur de la diaspora africaine, qui sait si bien mêler ici et ailleurs, optimisme et gravité, guerre et paix. Il y a du Tolstoï et du Walt Whitman dans cette voix élégiaque et solitaire, qui « contient des multitudes. »
    RFI
  • « Réfugiés ? On en arrive à ce nouvel opus, le troisième, dans le déploiement de ce qui s’appelle une œuvre. Dans Tous nos noms, Mengestu passe un nouveau cap et gagne encore en profondeur. »
    Le Point

Ce qu’on peut lire dans l’air

Albin Michel - 2011

Ce qu’on peut lire dans l’air Au début des années 1980, Yosef et Mariam, que la révolution éthiopienne a séparés pendant trois ans, se rejoignent aux États-Unis. Pour célébrer leurs retrouvailles, ils s’offrent enfin un voyage de noces, à Nashville. Trente ans plus tard, Jonas Woldemariam, leur fils, en pleine crise existentielle, revient sur leurs pas. Entre de vagues souvenirs d’enfance et le silence de ses parents sur le drame qui les a menés aux Etats-Unis, il reconstitue à tâtons l’histoire de sa famille, sa propre histoire... On retrouve dans ce nouveau roman la grâce poétique de l’écriture et du regard, ce souci de rendre compte de la réalité sans jamais négliger la fiction ni l’imaginaire appréciés dans Les Belles choses que porte le ciel. Ce qu’on peut lire dans l’air parle du couple, de la solitude, de la guerre et de l’exil, mais il évoque aussi la lumière et l’apaisement.

Quête de soi

Les Cafés littéraires en vidéo
Saint-Malo 2012

Avec Dinaw Mengestu, Lyonel Trouillot, Léonora Miano, Igor Stiks


Conscience métisse, pensée nomade

Grands débats en vidéo
Saint-Malo 2012

Multiculturalisme, identités plurielles, métamorphoses du religieux, interconnectivité, zones d’hybridation, déterritorialisations... « Où est ma maison ? » interroge le héros du roman de Tash Aw (La carte du monde invisible), tandis que Dinaw Mengestu (Ce qu’on peut lire dans l’air), Qiu Xiaolong (Cyber China) et Chahdortt Djavann (Je ne suis pas celle que je suis) signent des œuvres puissantes autour de l’identité et exil.

Café littéraire : Ici et là-bas

Avec Dinaw Mengestu, In-Koli Jean Bofane, Charles Robinson - Saint-Malo 2016


Avec Dinaw Mengestu, In-Koli Jean Bofane, Charles Robinson


En quête d’origines

Avec Léonora Miano, Nadifa Mohamed, Tash Aw et Dinaw Mengestu - Saint-Malo 2012

Une rencontre entre Léonora Miano, Nadifa Mohamed, Tash Aw et Dinaw Mengestu, animée par Yves Chemla.


L'Europe vue d'ailleurs

L’Europe vue d’ailleurs

Avec Shumona Sinha, Dinaw Mengestu, Alain Mabanckou, Edem Awumey - Saint-Malo 2012

Avec Shumona Sinha, Dinaw Mengestu, Alain Mabanckou, Edem Awumey