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Nous ne voulons pas attendre la mort dans nos maisons

Zoé éditions

Véritable manifeste et invitation au voyage, ce livre rend compte de l’appel de l’ailleurs que le narrateur, né dans une famille paysanne, a perçu dès son plus jeune âge. Au fil de son enfance, il ressent le besoin croissant de partir, tandis que troupeaux, fermes et champs le convainquent qu’il n’est pas fait pour ce monde immobile.
Plus tard, parti sur les routes du monde, il délivre une véritable ode au mouvement, dépeignant les sensations éprouvées dans des contrées lointaines, décrivant, plus que les gens, les ambiances rencontrées au fil d’une vie vouée au voyage.
Ici, le désir d’arpenter le monde se construit en repoussoir aux origines laissées derrière soi, aux « maisons » dans lesquelles nul ne devrait rester pour attendre la mort.


Revue de presse

  • « Le bref récit qu’il livre chez Zoé ouvre une porte magnifique, à l’écriture poignante et palpitante, sur son univers. (…) le poète, se souvenant de mers vues et de l’ennui né de la solitude volontaire, se penche avec délicatesse et densité sur le “pari insensé” qui a fait de lui un nomade perpétuel. Partir, revenir, raconter. » Isabelle Falconnier, L’Hebdo.
Nous ne voulons pas attendre la mort dans nos maisons

Nous ne voulons pas attendre la mort dans nos maisons

Zoé éditions - 2015

Véritable manifeste et invitation au voyage, ce livre rend compte de l’appel de l’ailleurs que le narrateur, né dans une famille paysanne, a perçu dès son plus jeune âge. Au fil de son enfance, il ressent le besoin croissant de partir, tandis que troupeaux, fermes et champs le convainquent qu’il n’est pas fait pour ce monde immobile.
Plus tard, parti sur les routes du monde, il délivre une véritable ode au mouvement, dépeignant les sensations éprouvées dans des contrées lointaines, décrivant, plus que les gens, les ambiances rencontrées au fil d’une vie vouée au voyage.
Ici, le désir d’arpenter le monde se construit en repoussoir aux origines laissées derrière soi, aux « maisons » dans lesquelles nul ne devrait rester pour attendre la mort.


Revue de presse

  • « Le bref récit qu’il livre chez Zoé ouvre une porte magnifique, à l’écriture poignante et palpitante, sur son univers. (…) le poète, se souvenant de mers vues et de l’ennui né de la solitude volontaire, se penche avec délicatesse et densité sur le “pari insensé” qui a fait de lui un nomade perpétuel. Partir, revenir, raconter. » Isabelle Falconnier, L’Hebdo.