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Cette nuit, la mer est noire

Arthaud

« J’ai basculé en une fraction de
seconde. Je suis dans l’eau. Il fait nuit
noire. Je suis seule. Je tourne la tête en
tous sens, instinctivement. Je vois mon
bateau qui s’éloigne. Je cherche un
repère. Une lueur. Un objet. Un signe de
vie. Rien. Je suis seule absolument, isolée
dans l’immense masse sombre et
mouvante de la mer. Dans quelques
instants, la mer, ma raison de vivre, va
devenir mon tombeau. »
Le samedi 29 octobre 2011, alors qu’elle
fêtait son anniversaire à bord de son
voilier, Florence Arthaud tombe à l’eau,
au large du cap Corse. Isolée, en pleine
mer, en pleine nuit, sans gilet de
sauvetage, la navigatrice affronte la mort.

Dans ce livre confession, Florence
Arthaud revient sur cet épisode tragique
de sa vie de navigatrice. Elle livre les
sentiments, les pensées et les souvenirs
qui l’ont accompagnée et soutenue alors
qu’elle se noyait en pleine mer.
Elle ne devra la vie sauve qu’à une série
de petits miracles : une lampe frontale,
un téléphone portable étanche, du réseau
et sa mère qui veillait encore lorsque
Florence réussit à la joindre pour donner
l’alerte. Aujourd’hui, celle qui se
considère comme une survivante dont la
mort n’a pas voulu revient pour
témoigner au nom de tous ceux que la
mer a emportés.

Cette nuit, la mer est noire

Cette nuit, la mer est noire

Arthaud - 2015

« J’ai basculé en une fraction de
seconde. Je suis dans l’eau. Il fait nuit
noire. Je suis seule. Je tourne la tête en
tous sens, instinctivement. Je vois mon
bateau qui s’éloigne. Je cherche un
repère. Une lueur. Un objet. Un signe de
vie. Rien. Je suis seule absolument, isolée
dans l’immense masse sombre et
mouvante de la mer. Dans quelques
instants, la mer, ma raison de vivre, va
devenir mon tombeau. »
Le samedi 29 octobre 2011, alors qu’elle
fêtait son anniversaire à bord de son
voilier, Florence Arthaud tombe à l’eau,
au large du cap Corse. Isolée, en pleine
mer, en pleine nuit, sans gilet de
sauvetage, la navigatrice affronte la mort.

Dans ce livre confession, Florence
Arthaud revient sur cet épisode tragique
de sa vie de navigatrice. Elle livre les
sentiments, les pensées et les souvenirs
qui l’ont accompagnée et soutenue alors
qu’elle se noyait en pleine mer.
Elle ne devra la vie sauve qu’à une série
de petits miracles : une lampe frontale,
un téléphone portable étanche, du réseau
et sa mère qui veillait encore lorsque
Florence réussit à la joindre pour donner
l’alerte. Aujourd’hui, celle qui se
considère comme une survivante dont la
mort n’a pas voulu revient pour
témoigner au nom de tous ceux que la
mer a emportés.

Un vent de liberté

Un vent de liberté

Arthaud - 2009

Ce livre est l’autobiographie de celle qui fut surnommée « la petite fiancée de l’Atlantique. » Fille de l’éditeur Jacques Arthaud, elle se passionne très jeune pour la mer et effectue sa première course transatlantique à 17 ans.
Pionnière en son genre dans un milieu très masculin, elle fait vite ses preuves et devient la première femme à se faire une place dans le monde de la voile, ouvrant la voie à une génération de skippeuses connues. Entre autres exploits, elle commence, en août 1990, par détrôner Bruno Peyron de son record de traversée de l’Atlantique Nord à la voile en solitaire ; remporte ensuite, à quelques mois de cela, la célèbre Route du Rhum, puis, en 1997, la Transpacifique.
Elle continue à participer à de nombreuses épreuves et projette de participer à la prochaine Route du Rhum (départ de Saint-Malo le 31 octobre 2010)

La fiancée de l’Atlantique

Saint-Malo 2009
Lundi : 10h00 - La fiancée de l’Atlantique
avec Florence Arthaud