« Moscow », c’est le surnom de l’île de Mosqueiro - un lieu dédié aux loisirs et à la villégiature pour de nombreux habitants de Belém. Pas pour Tinho Santos : la petite bande dont il fait partie écume l’île dès que vient l’obscurité. Avec ses amis, il se saoule, se drogue et vole en toute impunité. Mais Tinho n’est pas qu’un simple délinquant juvénile : quelque chose d’encore plus sombre couve en lui... Orange mécanique à la brésilienne, Moscow est un texte court et saisissant, où aucun répit n’est laissé au lecteur. Une chronique de l’ultra-violence, d’une brutalité assumée qui fait toute sa force.
Revue de presse
- "Moscow fait l’effet d’un violant ressac qu’on se prendrait sur l’arrière du crâne en pensant avoir échappé au pire. Une main ferme qui nous rejetterait illico dans le tourbillon." Lucie Eple, Mediapart
- "Roman d’une rare violence, Moscow crée le malaise, fouille dans le cerveau reptilien de ses personnages – et du coup un peu dans le nôtre – et nous laisse sidérés." Encore du Noir