Avec Sophie Couronne Férey et Couronne ont en commun une salutaire manière de tordre le cou aux bonnes manières romanesques. Ces quatre textes peuvent se lire comme les fragments d’une même « effervescence organique ». La Marie de Fond de cale, c’est un peu le double de la Zita de La Décalcomanie. L’une réussit son suicide, l’autre le rate et réussit à vivre, en portant en elle les pépites dhumanité qui font défaut à l’autre.