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La Bretagne est-elle une porcherie ?

Editions du Temps

Après les marées noires, les marées vertes : la Bretagne est-elle une poubelle ? Certes, la pollution de l’eau par les nitrates est moins visible. Elle n’en est que plus insidieuse. « Halte aux marées vertes ! ». C’est le cri d’André Ollivro. Depuis qu’une drôle de salade a envahi les côtes bretonnes, il a enquêté sur ce désastre écologique. Comme le souligne Roger Gicquel dans sa préface, l’eau pure est pourtant le premier sujet de préoccupation des Bretons. C’est bien l’élevage intensif des porcs qui est le responsable de cette pollution. Un Breton pour trois cochons, telle est l’équation de l’absurdité. Mais à qui profite le crime ? Pas aux paysans endettés auprès de la banque « verte » mais à un lobby agro-alimentaire qui défie les lois et se moque bien, au-delà des effets visibles de cette pollution, de mettre en péril la santé de toute une population. Documenté, argumenté, proposant des solutions, cet ouvrage démontre qu’il est faux de prétendre, malgré les plans « eau propre » qui se succèdent, que la situation s’améliore. Comme il est faux de prétendre qu’on ne peut rien faire. De plus en plus de paysans lucides et soucieux de leur environnement l’ont prouvé : ce sont les cochons qu’il faut mettre sur la paille. Pour qu’enfin, sous le lisier, on retrouve la plage.

Les marées vertes tuent aussi !

Editions du Temps - 2011

« Les marées vertes, ça pue, ça pollue et ça tue ! » André Ollivro, Breton de l’année 2009 nous avait déjà alertés avec son Scandale des algues vertes. Aujourd’hui, accompagné d’Yves-Marie le Lay, son alter-ego du Trégor, il va plus loin. André Ollivro et Yves-Marie le Lay abordent ici le problème sanitaire. Oui, les marées vertes sont un problème de santé publique. Non, il n’y a pas eu qu’un cheval et deux chiens qui sont morts. La vérité est bien plus effrayante, malheureusement. L’ouvrage est réalisé sous forme d’entretiens, avec en fil rouge, les événements qui se sont succédés depuis l’année 2008 jusqu’au début de l’année 2011 et « l’affaire de l’affiche FNE », argumenté, documenté, accompagné de nombreux témoignages de médecins, de scientifiques et d’agriculteurs, cet ouvrage dénonce le silence coupable et le déni de la quasi-totalité des élus bretons qui ont renoncé à leur devoir de protection de la population mais aussi l’incurie et la lâcheté de l’État face à la folie des agro-industriels.


Le scandale des algues vertes

Editions du Temps - 2009

Après les marées noires, les marées vertes : la Bretagne est-elle une poubelle ? « Halte aux marées vertes ! ». C’est le cri d’André Ollivro. Depuis qu’une drôle de salade a envahi les côtes bretonnes, il a enquêté sur ce désastre écologique. Comme le souligne Roger Gicquel dans sa préface, l’eau pure est pourtant le premier sujet de préoccupation des Bretons. C’est bien l’élevage intensif des porcs qui est le responsable de cette pollution. Un Breton pour trois cochons, telle est l’équation de l’absurdité. Mais à qui profite le crime ? Pas aux paysans endettés auprès de la banque « verte » mais à un lobby agro-alimentaire qui défie les lois et se moque bien, au-delà des effets visibles de cette pollution, de mettre en péril la santé de toute une population, comme le démontrent les morts récentes de deux chiens et d’un cheval. Documenté, argumenté, proposant des solutions, cet ouvrage démontre qu’il est faux de prétendre, malgré les plans « eau propre » qui se succèdent que la situation s’améliore. Comme il est faux de prétendre qu’on ne peut rien faire. De plus en plus de paysans lucides et soucieux de leur environnement l’ont prouvé : ce sont les cochons qu’il faut mettre sur la paille. Pour qu’enfin, sous le lisier, on retrouve la plage.


La Bretagne est-elle une porcherie ?

Editions du Temps - 2006

Après les marées noires, les marées vertes : la Bretagne est-elle une poubelle ? Certes, la pollution de l’eau par les nitrates est moins visible. Elle n’en est que plus insidieuse. « Halte aux marées vertes ! ». C’est le cri d’André Ollivro. Depuis qu’une drôle de salade a envahi les côtes bretonnes, il a enquêté sur ce désastre écologique. Comme le souligne Roger Gicquel dans sa préface, l’eau pure est pourtant le premier sujet de préoccupation des Bretons. C’est bien l’élevage intensif des porcs qui est le responsable de cette pollution. Un Breton pour trois cochons, telle est l’équation de l’absurdité. Mais à qui profite le crime ? Pas aux paysans endettés auprès de la banque « verte » mais à un lobby agro-alimentaire qui défie les lois et se moque bien, au-delà des effets visibles de cette pollution, de mettre en péril la santé de toute une population. Documenté, argumenté, proposant des solutions, cet ouvrage démontre qu’il est faux de prétendre, malgré les plans « eau propre » qui se succèdent, que la situation s’améliore. Comme il est faux de prétendre qu’on ne peut rien faire. De plus en plus de paysans lucides et soucieux de leur environnement l’ont prouvé : ce sont les cochons qu’il faut mettre sur la paille. Pour qu’enfin, sous le lisier, on retrouve la plage.