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Femme, l’autre moitié du ciel, Actes de la XVIIIe Journée mondiale de la poésie

Editions d’en Face

Muse inspiratrice de poètes et d’artistes, mais aussi voix puissante qui s’insurge contre une prétendue "mystérieuse fatalité" qui la confinerait dans une soumission atavique, la femme confie à la parole (figée dans l’écrit ou libre de se réinventer dans l’oral) sa force primordiale de chant, d’ "instrument miraculeux" pour affirmer son être au monde, son ancrage dans le réel, son opiniâtre volonté d’exister en tant que sujet agissant.

Jean Malaurie, une énergie créatrice

Armand Colin - 2012

Apparences trompeuses. Sananguaq. Au coeur de la pensée inuit

Yvelinedition / AEPress - 2007

Préface de Jean Malaurie et Postface de Romolo Santoni Apparences trompeuses de Giulia Bogliolo Bruna est l’ouvrage fondateur de la collection Latitude Humaine qu’elle dirige. Au carrefour des Civilisations et des Mémoires, Latitude Humaine est animée par le souci humaniste de quêter et enquêter l’Homme dans son inaliénable grandeur, dans la prodigieuse diversité de ses réalisations, dans son intarissable unité. Apparences trompeuses se propose de suivre les transformations de l’art inuit engendrées par la Rencontre avec les Européens. Loin d’être sclérosée, la production artistique des Inuit reflète le processus perpétuel de négociation entre un héritage ancestral toujours vivant et l’innovation découlant des contacts avec les autres cultures. Pour appréhender et décrypter la polyvalence de l’univers plastique inuit, “l’œil qui pense” doit pénétrer dans le système cognitif de l’Autre, adhérer à une intelligence cosmique régie par un vitalisme animiste, se livrer à une sorte de “gymnastique mentale” lui permettant de flirter entre représentation et présence, naturalisme et symbole, dimension esthétique et pragmatisme utilitaire. Fragments muets, “vestiges mémoriels” d’une culture de l’oralité réfractaire aux schémas binaires d’interprétation, les objets “parlent” seulement à ceux qui savent les écouter…


Femme, l’autre moitié du ciel, Actes de la XVIIIe Journée mondiale de la poésie

Editions d’en Face - 2007

Muse inspiratrice de poètes et d’artistes, mais aussi voix puissante qui s’insurge contre une prétendue "mystérieuse fatalité" qui la confinerait dans une soumission atavique, la femme confie à la parole (figée dans l’écrit ou libre de se réinventer dans l’oral) sa force primordiale de chant, d’ "instrument miraculeux" pour affirmer son être au monde, son ancrage dans le réel, son opiniâtre volonté d’exister en tant que sujet agissant.


Amarcord, je me souviens

Yvelinedition / AEPress - 2006

Au nom de la liberté

Yvelinedition / AEPress - 2005

Duc des Abruzzes, Expédition de l’Etoile Polaire dans la Mer Arctique 1899-1900 (Préface)

Economica - 2004

La première expédition polaire en traîneau à chiens, sous le drapeau italien, a atteint la latitude de 86°34, N, la plus septentrionale de la planète jamais franchie par l’homme. L’Américain Robert Edwin Peary lui succéda en 1907 en franchissant cette latitude, expédition qui précéda celle d’avril 1909, qui prétendit faussement avoir atteint le pôle géographique. Organisée avec rigueur militaire, une rare précision scientifique et d’importants moyens, l’expédition de l’Etoile Polaire, voulue et dirigée par S.A.R. Louis Amédée de Savoie, duc des Abruzzes, vient de battre le record établi par le Norvégien Fridtjof Nansen, le plus grand explorateur du siècle. Puis commence le long calvaire du retour de ces quatre hommes dont le célèbre capitaine Cagni. Le danger mortel est permanent. Le 23 juin, le brouillard se dissipe : émus, ils aperçoivent la base hivernale de l’expédition et le navire. Le 16 août, libérée de l’étreinte des glaces, l’Etoile Polaire fait route vers le sud, l’Italie. Renouant avec un glorieux, mais lointain passé, qui remonte aux Caboto et à Verrazzano, l’Italie retrouve ainsi sa place parmi les nations engagées dans l’exploration des hautes latitudes. Témoignage passionnant, l’Etoile Polaire figure parmi les grands classiques de la littérature de voyage consacrée à la conquête du Pôle nord. Pour Jean Malaurie, c’est un grand sujet d’interrogation que le peuple italien, si redouté et admiré lorsqu’on l’appelait romain, paraisse dans la conscience internationale, depuis le Risorgimento, comme cantonné à des destins mineurs. Le duc des Abruzzes, héros polaire incontestable, et le général Umberto Nobile, premier conquérant du Pôle, restent méconnus. Il appartient à ce grand livre de rétablir la vérité.