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Le désepoir des anges

Actes Sud

Le début des années 2000. Les gangs s’installent dans les cités. Réalité à laquelle la littérature haïtienne s’est jusqu’ici très peu intéressée. Une jeune femme en révolte après avoir été la victime d’une famille de riches devient la concubine d’un chef de gang. Mais le règne de son homme est de courte durée. De souveraine, elle devient fugitive, poursuivie par le nouveau chef. Elle ne sortira de la cité que pour travailler dans un bordel. De violence en violence, de souffrance en souffrance, elle conserve malgré tout une grande force intérieur et confiance en l’avenir. Dans ce récit à la première personne, le déclic est provoqué par une simple convocation. Travaillant dans un hôtel, essayant de refaire sa vie et d’oublier, la jeune femme a cassé des verres et se retrouve devant la patronne. Elle s’attend à être renvoyée, mais elle voit devant elle une femme d’une autre condition qui souffre et ne sait pas comment faire face à ses problèmes. Et tandis que la patronne lui fait des remontrances sous lesquels elle perçoit un appel à l’aide et au dialogue, ses souvenirs à elle s’imposent. C’est à une conversation muette entre la fille de la cité et « la patronne » que ce récit à la première personne nous invite. La violence des cités, d’un côté, et, de l’autre côté une complicité improbable mais possible entre deux femmes que tout sépare.

Le désepoir des anges

Actes Sud - 2013

Le début des années 2000. Les gangs s’installent dans les cités. Réalité à laquelle la littérature haïtienne s’est jusqu’ici très peu intéressée. Une jeune femme en révolte après avoir été la victime d’une famille de riches devient la concubine d’un chef de gang. Mais le règne de son homme est de courte durée. De souveraine, elle devient fugitive, poursuivie par le nouveau chef. Elle ne sortira de la cité que pour travailler dans un bordel. De violence en violence, de souffrance en souffrance, elle conserve malgré tout une grande force intérieur et confiance en l’avenir. Dans ce récit à la première personne, le déclic est provoqué par une simple convocation. Travaillant dans un hôtel, essayant de refaire sa vie et d’oublier, la jeune femme a cassé des verres et se retrouve devant la patronne. Elle s’attend à être renvoyée, mais elle voit devant elle une femme d’une autre condition qui souffre et ne sait pas comment faire face à ses problèmes. Et tandis que la patronne lui fait des remontrances sous lesquels elle perçoit un appel à l’aide et au dialogue, ses souvenirs à elle s’imposent. C’est à une conversation muette entre la fille de la cité et « la patronne » que ce récit à la première personne nous invite. La violence des cités, d’un côté, et, de l’autre côté une complicité improbable mais possible entre deux femmes que tout sépare.

Au coeur des ténèbres

Les Cafés littéraires en vidéo
Avec Donald Ray Pollock, Caryl Ferey, Stefan Mani et Henry Kenol - Saint-Malo 2012

Pouvoir de la violence

Avec Christian Roux, Stefan Mani et Henry Kénol - Saint-Malo 2012

Avec Christian Roux, Stefan Mani et Henry Kénol, une rencontre animée par Josiane Guéguen


Dans les bas-fonds

Avec Stefan Mani, Henry Kenol, Karim Madani, Cathi Unsworth - Saint-Malo 2012

Avec Stefan Mani, Henry Kenol, Karim Madani, Cathi Unsworth