Bibliothèque

Les villes assassines

L’Archipel

Les villes assassines Evane habite un quartier sordide où règnent la violence et la drogue, un quartier où les rêves sont écrasés sous la misère. Il est épris d’une jeune prostituée qui danse tous les vendredis soir chez Slack, caïd du quartier faisant régner la terreur sous l’accord tacite des autorités. Evane aime une femme sans rien avouer, terrorisé par l’influence de cet homme sans morale qui s’est déclaré « propriétaire » des femmes qu’il exploite. Un matin, la jeune Winona demande à Evan de l’emmener voir la mer. Commence alors une relation secrète. Un nouveau rêve se forme, celui d’une autre vie, à deux, ailleurs. Dans une langue en perpétuelle invention, Les Villes assassines raconte l’histoire de cette tentative d’amour au sein d’un monde violent, sale, et corrompu. Une écriture sans détours, une véritable poésie du désespoir.

Le bar des Amériques

Mémoire d’Encrier - 2016

Le bar des Amériques est le roman de l’amour perdu. Perte dont le souvenir et la douleur indépassés installent Bahia dans l’enfermement du ressassement et de l’errance à soi. Un enfermement de trente ans qu’elle croit pouvoir briser lorsqu’un matin, très tôt, sur le bord évanoui de la mer, elle rencontre, comme dans un miroir, un autre visage de l’errance, en la personne de Leeward, un ancien passeur de clandestins à la dérive, dont la vie se limite à boire, le soir, en compagnie de son vieux complice d’autrefois, Hilaire.

Tout au long du récit, dont l’espace central est le huis-clos d’un bar échoué au rez-de-chaussée d’un hôtel à l’abandon, quatre motifs, comme une respiration sous-marine, balisent le vertige en solitude des personnages : les conteneurs, l’île, le naufrage, les migrants.

Aimé Césaire. La part intime

Aimé Césaire. La part intime

Mémoire d’Encrier - 2014

Poème après poème, Aimé Césaire, auteur et lecteur de lui-même, bâtit, de l’intérieur, sa part de liberté. Recueil après recueil, entretien après entretien, il ne cesse de présenter son aventure poétique comme un récit de soi à partir duquel arpenter et conjurer le désastre que l’histoire a inscrit dans les corps et l’esprit de ces diasporas qui, comme des îles déportées, rêvent, à voix basse, leur innocence à retrouver.


Revue de presse

« Alfred Alexandre est un des penseurs les plus talentueux de sa génération. » L’Afrique des idées

« Délaissant le statut d’auteur, Alfred Alexandre revendique celui de lecteur, ouvrant ainsi la voie à une relation au texte, neuve, agissante… intime. » France Antilles


Les villes assassines

L’Archipel - 2011

Les villes assassines Evane habite un quartier sordide où règnent la violence et la drogue, un quartier où les rêves sont écrasés sous la misère. Il est épris d’une jeune prostituée qui danse tous les vendredis soir chez Slack, caïd du quartier faisant régner la terreur sous l’accord tacite des autorités. Evane aime une femme sans rien avouer, terrorisé par l’influence de cet homme sans morale qui s’est déclaré « propriétaire » des femmes qu’il exploite. Un matin, la jeune Winona demande à Evan de l’emmener voir la mer. Commence alors une relation secrète. Un nouveau rêve se forme, celui d’une autre vie, à deux, ailleurs. Dans une langue en perpétuelle invention, Les Villes assassines raconte l’histoire de cette tentative d’amour au sein d’un monde violent, sale, et corrompu. Une écriture sans détours, une véritable poésie du désespoir.

Dans le creuset des villes

Les cafés littéraires en vidéo
Saint-Malo 2011

Avec Brian Chikwava, Léonora Miano et Alfred Alexandre

Une vidéo réalisée par Cap7Média.

Café littéraire : Atmosphère

Avec Tom Cooper, Alfred Alexandre, Caryl Ferey - Saint-Malo 2016


Avec Tom Cooper, Alfred Alexandre, Caryl Ferey


Négritude, créolité, identité... aujourd’hui des pièges ?

Avec Roland Brival, Makenzy Orcel, Evains Weche, Alfred Alexandre - Saint-Malo 2016


Avec Roland Brival, Makenzy Orcel, Evains Weche, Alfred Alexandre
Animé par Sophie Ekoué


Les nouveaux langages de la ville

Saint-Malo 2011

"Les expressions de la rue. Entre néologisme et barbarisme. Le nouvel argot, un patois de banlieue ? Etymologie urbaine. D’où viennent les expressions qu’utilisent les jeunes ? Dis-moi combien tu utilises de mots, je te dirai qui tu es. Les ghettos linguistiques. Les discriminations grammaticales. Face à la rhétorique redoutable des politiciens, les phrases fragiles de ceux qui inventent des mots tellement ils en ont peu..." (spéciale dédicace à Souleymane Diamanka pour le développement de ce débat).

Avec Alfred Alexandre, Rachid Santaki, Insa Sane, Charles Robinson.

Un débat animé par Willy Persello.


Habiter le Chaos

Saint-Malo 2011

Au commencement, il y a le surgissement de l’inconnu, l’informe, l’innommé, le grondement des forces premières du monde : le chaos. Et puis, face à lui, cette puissance en nous de création des formes — le pouvoir plastique de l’imagi- naire. Nous habitons d’abord poétiquement le monde. Nous le surchargeons d’images, d’his- toires, de musiques, pour le rendre peu à peu habitable : un « lieu » n’est-il pas d’abord un ima- ginaire ? Peut-être même est-ce la fonction première de l’art. Ne sont-ce pas d’abord les artistes qui nous donnent à voir, à entendre, l’inconnu du monde, en captent la parole vive, lui donnent forme — bref, le rendent habitable ?

Avec Alfred ALEXANDRE, Marvin VICTOR, Laird HUNT, Yahia BELASKRI,
animé par Hubert Artus


Frontières intérieures

Saint-Malo 2011

Avec : Gary VICTOR, Hugo HAMILTON, Alfred ALEXANDRE.

Un débat animé par : Jean-Claude Lebrun.