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L’homme à la Chimay bleue

Le cactus inébranlable

Belgique sauvage Visionnaires allumés, performeurs insolites, poètes, oulipiens, pataphysiciens, faiseurs d’aphorismes inspirés… Le 31 mars, découvrez la Belgique comme vous ne l’avez jamais vu ! Cette espèce bizarre de scripteurs dérangés n’est pas en voie d’extinction. L’écrivain et plasticien André Stas propose d’en découvrir les spécimens les plus surprenants tout en évoquant la figure emblématique d’André Blavier, pataphysicien qui fut proche de Raymond Queneau avec lequel il a correspondu, et auteur d’une somme unique : Les Fous littéraires (Ed. des cendres). Avec la complicité de Noël Godin, auteur d’une Anthologie de la subversion carabinée (Ed. Age d’homme). Participation de : Jan Bucquoy, Eric De Jaeger et Jean-Philippe Querton, Théophile de Giraud, Fanchon Daemers… La Nuit de la Belgique sauvage Lectures, rencontres, performances L’homme à la Chimay bleue, Le cactus inébranlable 2012 Découragé par le combat quotidien contre un corps en souffrance, fatigué des contraintes que la médecine lui impose, un homme décide d’en finir avec la vie. Il s’organise une mort festive et décide de périr par son vice : la Chimay Bleue. Boire jusqu’à ce que mort s’ensuive ! Froidement, il planifie les derniers mois de son existence qu’il rythme selon une consommation soutenue de bières trappistes. Alors qu’il arrive au terme de son chemin de croix, il rencontre l’Ange, une jeune fille qui n’existe pas au regard de l’administration, un fantôme qui lui rappelle sa petite fille. Le projet de suicide est alors postposé ... pour combien de temps ? Amoureux des mots et de la langue française, Jean-Philippe Querton nous offre ici son troisième roman. Un texte court, nerveux où le thème de la mort est omniprésent. Mais le véritable sujet de ce livre n’est-ce pas l’adolescence ? Cette enfant qui a préféré périr plutôt que de devenir véritablement ce que ses parents rêvaient qu’elle devienne, n’est-ce pas là que se trouve la clé d’un récit qui alterne drame et légèreté ? Après « Le Poulet aux Olives », publié en 2004 et réédité deux ans plus tard et « Pronunciamiento », sorti de presse en 2006, l’auteur nous propose une chronique émouvante empreinte d’un cynisme déconcertant. Rarement, la question du suicide a été traitée avec autant de désinvolture.

L’homme à la Chimay bleue

Le cactus inébranlable - 2012

Belgique sauvage Visionnaires allumés, performeurs insolites, poètes, oulipiens, pataphysiciens, faiseurs d’aphorismes inspirés… Le 31 mars, découvrez la Belgique comme vous ne l’avez jamais vu ! Cette espèce bizarre de scripteurs dérangés n’est pas en voie d’extinction. L’écrivain et plasticien André Stas propose d’en découvrir les spécimens les plus surprenants tout en évoquant la figure emblématique d’André Blavier, pataphysicien qui fut proche de Raymond Queneau avec lequel il a correspondu, et auteur d’une somme unique : Les Fous littéraires (Ed. des cendres). Avec la complicité de Noël Godin, auteur d’une Anthologie de la subversion carabinée (Ed. Age d’homme). Participation de : Jan Bucquoy, Eric De Jaeger et Jean-Philippe Querton, Théophile de Giraud, Fanchon Daemers… La Nuit de la Belgique sauvage Lectures, rencontres, performances L’homme à la Chimay bleue, Le cactus inébranlable 2012 Découragé par le combat quotidien contre un corps en souffrance, fatigué des contraintes que la médecine lui impose, un homme décide d’en finir avec la vie. Il s’organise une mort festive et décide de périr par son vice : la Chimay Bleue. Boire jusqu’à ce que mort s’ensuive ! Froidement, il planifie les derniers mois de son existence qu’il rythme selon une consommation soutenue de bières trappistes. Alors qu’il arrive au terme de son chemin de croix, il rencontre l’Ange, une jeune fille qui n’existe pas au regard de l’administration, un fantôme qui lui rappelle sa petite fille. Le projet de suicide est alors postposé ... pour combien de temps ? Amoureux des mots et de la langue française, Jean-Philippe Querton nous offre ici son troisième roman. Un texte court, nerveux où le thème de la mort est omniprésent. Mais le véritable sujet de ce livre n’est-ce pas l’adolescence ? Cette enfant qui a préféré périr plutôt que de devenir véritablement ce que ses parents rêvaient qu’elle devienne, n’est-ce pas là que se trouve la clé d’un récit qui alterne drame et légèreté ? Après « Le Poulet aux Olives », publié en 2004 et réédité deux ans plus tard et « Pronunciamiento », sorti de presse en 2006, l’auteur nous propose une chronique émouvante empreinte d’un cynisme déconcertant. Rarement, la question du suicide a été traitée avec autant de désinvolture.