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Le Cahier Romain

Editions du Cygne

Le Cahier Romain, Editions du Cygne janv 2012 Dans les jardins Borghèse, par un mois de septembre idéal de 2011, une résidence d’écriture où travailler le jour et sortir des livres le soir pour parcourir Rome, la tant aimée, et prendre des notes sans y pense, comme « en passant » donc en y pensant tout le temps, jusqu’à ce que cela fasse partie de l’oeuvre en cours, mais comme un aparté d’amour. Cela dans la Villa où se croisaient, en bibliothèque ou en cuisine, les langues et les musiques dont nous sommes faits... Conversation à l’intérieur d’un mur, Rhubarbe, août 2011 Werner Lambersy, le délicat poète belge (mais on pourrait aussi le considérer comme indien, tant ses affinités avec les cultures et philosophies orientales sont profondes) nous a fait l’amitié de nous confier une Conversation placée sous le signe d’un poème de Guillevic. Le mur, c’est peut-être nous-mêmes qui avons tant de mal à sortir nos paroles, à les offrir à ceux que nous aimons, mais il s’agit peut-être aussi des apparences, du prétendu réel derrière lequel, ou au cœur caché duquel, tout se joue. Dans les deux cas, la parole poétique, telle un pic de mineur, entame un peu la paroi et laisse filtrer des bribes lumineuses.

Le Cahier Romain

Editions du Cygne - 2012

Le Cahier Romain, Editions du Cygne janv 2012 Dans les jardins Borghèse, par un mois de septembre idéal de 2011, une résidence d’écriture où travailler le jour et sortir des livres le soir pour parcourir Rome, la tant aimée, et prendre des notes sans y pense, comme « en passant » donc en y pensant tout le temps, jusqu’à ce que cela fasse partie de l’oeuvre en cours, mais comme un aparté d’amour. Cela dans la Villa où se croisaient, en bibliothèque ou en cuisine, les langues et les musiques dont nous sommes faits... Conversation à l’intérieur d’un mur, Rhubarbe, août 2011 Werner Lambersy, le délicat poète belge (mais on pourrait aussi le considérer comme indien, tant ses affinités avec les cultures et philosophies orientales sont profondes) nous a fait l’amitié de nous confier une Conversation placée sous le signe d’un poème de Guillevic. Le mur, c’est peut-être nous-mêmes qui avons tant de mal à sortir nos paroles, à les offrir à ceux que nous aimons, mais il s’agit peut-être aussi des apparences, du prétendu réel derrière lequel, ou au cœur caché duquel, tout se joue. Dans les deux cas, la parole poétique, telle un pic de mineur, entame un peu la paroi et laisse filtrer des bribes lumineuses.