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Où traîne encore le cri des loups

L’Oeuvre éditions

L’auteur a traversé la Sibérie à pied d’est en ouest. Il fait le récit de son équipée et de ses épreuves, forêts impénétrables, marécages, nature hostile, insectes, loups, gel, etc., ainsi que de ses rencontres, dressant le portrait inédit d’une Russie secrète. 4ème de couverture : Rarement voyage plus fou a été entrepris. Traverser la Sibérie à pied, d’est en ouest, parcourir au total près de neuf mille kilomètres : un cauchemar qui fut le rêve de bien des fugitifs du Goulag. Forêts impénétrables, marécages à perte de vue, une nature belle mais hostile, des milliards d’insectes dévoreurs de chair humaine, des loups, des ours ; Marc-Henri Picard est sorti à moitié mort de cette route d’eau, de glace et de feu. En lisant son livre, on se frotte parfois les yeux. L’exploit physique est là, certes. Mais les rencontres frappent tout autant. Belles, très belles, et moches, très moches. L’image de la Russie secrète qui surgit de ces pages est celle d’un océan inexploré. En sortant indemne de ce récit hors norme, le lecteur se dit qu’il aurait pu y rester.

Où traîne encore le cri des loups

L’Oeuvre éditions - 2009

L’auteur a traversé la Sibérie à pied d’est en ouest. Il fait le récit de son équipée et de ses épreuves, forêts impénétrables, marécages, nature hostile, insectes, loups, gel, etc., ainsi que de ses rencontres, dressant le portrait inédit d’une Russie secrète. 4ème de couverture : Rarement voyage plus fou a été entrepris. Traverser la Sibérie à pied, d’est en ouest, parcourir au total près de neuf mille kilomètres : un cauchemar qui fut le rêve de bien des fugitifs du Goulag. Forêts impénétrables, marécages à perte de vue, une nature belle mais hostile, des milliards d’insectes dévoreurs de chair humaine, des loups, des ours ; Marc-Henri Picard est sorti à moitié mort de cette route d’eau, de glace et de feu. En lisant son livre, on se frotte parfois les yeux. L’exploit physique est là, certes. Mais les rencontres frappent tout autant. Belles, très belles, et moches, très moches. L’image de la Russie secrète qui surgit de ces pages est celle d’un océan inexploré. En sortant indemne de ce récit hors norme, le lecteur se dit qu’il aurait pu y rester.