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Dève lumineuse (receuil de poésie)

Imprimerie Henri Deschamps

Sa poésie se veut une forme-sens. Elle dit l’angoisse existentielle, questionne l’espace, le temps, la mort, l’éternité, évoque aussi la mémoire, la blessure de l’histoire, le sens du monde, la sensualité des corps amoureux, dans de subtiles métaphores.

Dans l'éclatement des premiers soleils

Dans l’éclatement des premiers soleils

Project’îles - 2024

Se plonger dans ce recueil du poète Bonel Auguste c’est en quelque sorte sceller un serment. Celui de compagnonner avec un poète discret et patient qui accorde une attention particulière à la langue, au récit de l’amour aussi impossible soit-il, à la puissance du langage qu’il veut offrir au lecteur. C’est l’histoire d’une rencontre, d’une langue, celle qui raconte la plaie. Nous sommes dans un chaos-monde dont parle le poète Frankétienne, que Bonel Auguste affectionne. Comment dire l’attente, la douleur, la perte, l’absence, l’espérance ?



Il s’agit là d’une poésie généreuse, puissante, lucide. Séduisante par le parti pris de mêler les langues, créoles-françaises.

Sa poésie se veut une forme sens. Elle dit l’angoisse existentielle, questionne l’espace, le temps, la mort, l’éternité, évoque aussi la mémoire, la blessure de l’histoire, le sens du monde, la sensualité subtile des corps amoureux.



"Les poèmes que Bonel a choisi de nous donner dans son livre sont de tous les temps contre tous les mauvais temps. Que reste t-il après les deuils, les chagrins, les larmes qui vont avec et qui ne tombent pas à temps ? Que reste t-il quand les âmes sont massacrées, piétinées ? Peut-être les corps pour faire l’amour et retrouver les âmes au fond des corps " écrit le poète Yvon Le Men dans sa préface à ce recueil.

Un cri Lola

Un cri Lola

Vents d’Ailleurs - 2013

Un cri Lola… un homme, dans sa chambre, dans la ville parfois, fugitivement, entre en nonchalance et paresse, regarde vivre sa belle Lola, s’y accroche et s’y laisse aller. L’angoisse et le désir, la solitude indéfinissable viennent lui rendre visite, il les accueille en musique. Dans les rêves et les mondes des Coltrane, des Coleman Hawkins, de Lester Young… Il se lève, à la suite de Lola. Il marche, tel un Giacometti. Traversée de la ville, dans les rires de Lola. Traversées des cris, des cris qui le submergent. Du plus profond des mémoires et des ressacs qui s’abattent sur lui, sur la ville encore. Il médite. Il revient à un cri Lola… Un roman tout en musique et en réflexion : du jazz à la fugue, du parler au chant, de l’étonnement à la rage. C’est une partition de cri et de murmure. C’est un roman d’amour. Pour une femme. Pour une ville. Pour une mémoire. Bonel Auguste se fait funambule ici, funambule des mots, sur le fil des sonorités et des ambiances troublantes d’une île qui ne cesse de sourdre ses cris…


Dève lumineuse (receuil de poésie)

Imprimerie Henri Deschamps - 2007

Sa poésie se veut une forme-sens. Elle dit l’angoisse existentielle, questionne l’espace, le temps, la mort, l’éternité, évoque aussi la mémoire, la blessure de l’histoire, le sens du monde, la sensualité des corps amoureux, dans de subtiles métaphores.

Haïti, un peuple de poètes

Haïti, un peuple de poètes

Saint-Malo 2010

Son à venir.