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La vie en Nord : douze ans sur la piste des trappeurs

Robert Laffont
L'Odyssée blanche

L’Odyssée blanche

(Nicolas Vanier, MC4, 2000, 52’) -

En traversant le Grand Nord canadien d’est en ouest en moins de 100 jours, Nicolas Vanier relève le défi le plus fou de sa carrière !

Après avoir traversé la Sibérie en 1990-1991, Nicolas Vanier relève en 1999 un nouveau défi, que beaucoup considéraient infaisable, voire insensé : la traversée du Grand Nord canadien en un temps record. Baptisée l’Odyssée blanche, cette expédition se déroule aux confins de territoires qui comptent parmi les plus majestueux et les plus dangereux de la planète. Seul avec son équipage de chiens de traîneaux, Nicolas va ainsi relier, en un hiver, l’océan Pacifique à l’océan Atlantique à travers tout le Grand Nord canadien, depuis Skagway en Alaska jusqu’à Québec au Canada : Montagnes Rocheuses, grands lacs, fleuves gelés, banquise, taïga et toundra…

Nicolas va parcourir près de 8 000 km par des températures qui atteignent -40 °C de moyenne. Cette aventure surhumaine, Nicolas Vanier l’accomplit avec un seul mot d’ordre : le respect de la nature. Un respect qui passe par l’art du déplacement. Pas question d’utiliser autre chose que le moyen de locomotion le plus naturel (et le plus approprié) : le traîneau à chiens. Constitué, par Nicolas Vanier lui-même, de chiens plus qu’expérimentés, cet attelage indispensable confine l’Odyssée Blanche à un art de voyager. Un périple de communauté où l’homme et les chiens sont dépendants les uns des autres, poussés par le même désir d’avancer, de poursuivre la route, au mépris des incertitudes climatiques, de la fatigue et des dangers.

Pour l’Odyssée Blanche, Nicolas et ses chiens vont engloutir près de 100 kilomètres par jour de pistes enneigées. Il faut savoir que ces pistes doivent être balisées en motoneige. Dans son périple, Vanier est épaulé par des Indiens, des Inuit et des trappeurs, lesquels servent de guides en se relayant. Ils précèdent l’attelage de Nicolas de quelques jours et lui ouvrent les 8000 km de route. Autant d’implications humaines et animales au service d’une aventure dont la grandeur et la rudesse imposent bel et bien Nicolas Vanier comme le successeur de Jack London.

En présence de Nicolas Vanier.


L'Odyssée Blanche

L’Odyssée Blanche

(Nicolas Vanier, MC4, 2000, 90’) -

En traversant le Grand Nord canadien d’est en ouest en moins de 100 jours, Nicolas Vanier relève le défi le plus fou de sa carrière !

Après avoir traversé la Sibérie en 1990-1991, Nicolas Vanier relève en 1999 un nouveau défi, que beaucoup considéraient infaisable, voire insensé : la traversée du Grand Nord canadien en un temps record. Baptisée l’Odyssée blanche, cette expédition se déroule aux confins de territoires qui comptent parmi les plus majestueux et les plus dangereux de la planète. Seul avec son équipage de chiens de traîneaux, Nicolas va ainsi relier, en un hiver, l’océan Pacifique à l’océan Atlantique à travers tout le Grand Nord canadien, depuis Skagway en Alaska jusqu’à Québec au Canada : Montagnes Rocheuses, grands lacs, fleuves gelés, banquise, taïga et toundra…

Nicolas va parcourir près de 8 000 km par des températures qui atteignent -40 °C de moyenne. Cette aventure surhumaine, Nicolas Vanier l’accomplit avec un seul mot d’ordre : le respect de la nature. Un respect qui passe par l’art du déplacement. Pas question d’utiliser autre chose que le moyen de locomotion le plus naturel (et le plus approprié) : le traîneau à chiens. Constitué, par Nicolas Vanier lui-même, de chiens plus qu’expérimentés, cet attelage indispensable confine l’Odyssée Blanche à un art de voyager. Un périple de communauté où l’homme et les chiens sont dépendants les uns des autres, poussés par le même désir d’avancer, de poursuivre la route, au mépris des incertitudes climatiques, de la fatigue et des dangers.

Pour l’Odyssée Blanche, Nicolas et ses chiens vont engloutir près de 100 kilomètres par jour de pistes enneigées. Il faut savoir que ces pistes doivent être balisées en motoneige. Dans son périple, Vanier est épaulé par des Indiens, des Inuit et des trappeurs, lesquels servent de guides en se relayant. Ils précèdent l’attelage de Nicolas de quelques jours et lui ouvrent les 8000 km de route. Autant d’implications humaines et animales au service d’une aventure dont la grandeur et la rudesse imposent bel et bien Nicolas Vanier comme le successeur de Jack London.
Samedi 2 juin à 10h30
Suivi d’une rencontre “Voyageurs de la glace”

Belle et Sébastien

XO Editions - 2013

D’après l’oeuvre de Cécile Aubry L’amitié et l’amour comme remparts à la folie des hommes 1943. Dans un vil­lage au cœur des Alpes, les trou­pes alle­man­des font régner la peur. Malgré tout, cer­tains s’orga­ni­sent et résis­tent… Alors qu’Angelina, la belle bou­lan­gère, doit four­nir coûte que coûte du pain aux Allemands, le doc­teur Guillaume, lui, fait passer la fron­tière en mon­ta­gne à des juifs per­sé­cu­tés. Le lieu­te­nant alle­mand Peter Braun le sait et cher­che à démas­quer les fugi­tifs et leur guide. À cette périlleuse passe d’armes s’ajoute une riva­lité entre les deux hommes au sujet d’Angelina… Pendant ce temps, le vil­lage tout entier s’est ligué contre Belle, la chienne des Pyrénées. Est-elle bien cet animal errant qui égorge les mou­tons ? Sébastien, l’enfant des mon­ta­gnes, s’est promis de la défen­dre, de la sauver, alors que tous se sont unis contre « la Bête ». Au cœur de la mon­ta­gne magni­fi­que et par­fois ter­ri­fiante se noue un drame que seule l’amitié pourra déjouer. Si Sébastien par­vient à vain­cre les pré­ju­gés des hommes…


Le grand voyage : Mohawks et le peuple d’en haut

XO Editions - 2011

« Tu iras par la terre, la pierre, le flot et les glaces. » Ce sont les dernières paroles que Raian, le vieux chef Nahanni, adresse à Mohawks, son arrière-petit-fils de seize ans. Le Grand Voyage ! La plus haute mission qui soit. Très rarement initiée, encore plus rarement réussie. Parmi les obstacles et non des moindres : l amour, qui immobilise. Car la route est longue... Le nouveau Zuyis, le Voyageur doit rejoindre quatre villages sacrés et recréer le lien qui est l unité et la force des peuples d en haut. Tous vont attendre son retour. Il ne faut pas tarder. Une menace plane... Mohawks part pour un voyage qui durera 48 lunes. En canoë, à cheval, puis avec un attelage de chiens dont le fidèle Torok est le chef de meute, il va relier les différents villages en parcourant sans relâche la taïga, la toundra, les montagnes et la banquise. Il va errer, espérer, apprendre et se décourager jusqu à en perdre le fil de sa quête. Mais opiniâtre, fier et vaillant, malgré l amour, le froid, la solitude et les épreuves, le Voyageur n abandonnera jamais... Né en 1962, Nicolas Vanier vit en Sologne avec sa femme et leurs trois enfants, lorsqu il ne voyage pas à travers le Grand Nord. Il a raconté ses aventures dans plusieurs ouvrages et films qui ont connu d immenses succès parmi lesquels Le Chant du Grand Nord, L Or sous la neige, L Odyssée sibérienne, Le Dernier Trappeur, Mémoires glacées et loup.


Solitudes blanches

Actes Sud - 1994

La vie en Nord : douze ans sur la piste des trappeurs

Robert Laffont - 1993

Philippe DESCOLA, Jean MALAURIE, Jacques MEUNIER, Nicolas VANIER

Revivre le festival : Cafés littéraires
Avec : Philippe DESCOLA, Jean MALAURIE, Jacques MEUNIER, Nicolas VANIER - Saint-Malo 1994

Avec : Philippe DESCOLA, Jean MALAURIE, Jacques MEUNIER, Nicolas VANIER
Animé par Maëtte CHANTREL et Christian ROLLAND