Dans une maison de Curepipe, sur l’île Maurice, un vieux médecin à l’agonie est veillé par sa fille et par sa petite-fille. Entre elles et lui se tissent un dialogue d’une violence extrême, où affleurent progressivement des éléments du passé, des souvenirs, des reproches, et surtout la figure mystérieuse de la mère de Kitty, l’épouse du "Dokter-Dieu", qui a disparu dans des circonstances terribles. Elles ne le laisseront pas partir en paix.
Le Sari vert a reçu le prix Louis Guilloux 2010. Pour lire l’article publié à cette occasion, cliquez ici.
Revue de presse
- "Avec [...] Le sari vert qui paraît ces jours-ci (Gallimard), la Franco-Mauricienne livre une de ses œuvres les plus puissantes sur les ravages du patriarcat." RFI
- "Sous la plume cruelle et lucide d’Ananda Devi, la méchanceté est un art." Ouest-France
- " Un texte âpre et dérangeant." Psychologies magazine
- "[...] C’est à une sorte de parade sauvage autour d’une femme qui prend feu, que ressemble ce livre, tout en tension tragique et tendresses de fil de fer barbelé." Le Matricule des Anges
- " Une histoire de famille d’une rare cruauté, derrière laquelle est dépeinte un âpre réalité mauricienne peu connue ici. » Livres Hebdo
- " Un projet littéraire délicat très bien mené." Témoignage chrétien
- " La romancière a créé un beau personnage de salaud comme on n’en voit guère, un monstre au quotidien ; c’est d’autant plus fort que c’est lui qui soliloque." Le Figaro Littéraire
- Éric Loret salue une "longue méditation sur le corps et la puissance" dans Libération.
- Lire l’interview de l’auteur paru dans l’Humanité